Après plusieurs mois de mise en réserve et d’immobilisation, le navire a bénéficié d’une remotorisation complète : une opération technique de grande ampleur, au cœur de la phase de transition de rénovation.

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Des moteurs neufs pour un navire plus performant

L’ancien système de propulsion, devenu obsolète et énergivore, a été entièrement démonté pour laisser place à deux moteurs neufs, plus fiables et davantage conformes aux normes environnementales actuelles.
Cette remotorisation ne se limite pas à un simple remplacement : elle implique une reconfiguration technique de plusieurs systèmes embarqués (transmission, refroidissement, échappement, électronique de gestion moteur, etc.), afin d’assurer une parfaite compatibilité et un fonctionnement optimal.​

« C'est un nouveau pas vers la fiabilisation du CAP SALOMON. », explique le directeur. « C’est une renaissance pour le bateau. »

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Phase de tests en mer : sécurité, fiabilité et performance

Depuis l’installation des nouveaux moteurs, le CAP SALOMON entre dans une phase cruciale de tests de navigation. Ces essais ont pour objectif de :

• vérifier le comportement des moteurs à différentes vitesses,

• contrôler la stabilité du navire et la consommation énergétique,

• ajuster les réglages de propulsion,

• s’assurer de l’absence de vibrations, surchauffes ou anomalies mécaniques,

• tester les équipements associés (commande, transmission, pilotage…).

Ces tests sont menés sous le regard attentif de l’équipe technique, avec le soutien d’experts.

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​Une fois les essais concluants, le navire devra obtenir une validation réglementaire de sa nouvelle motorisation par un organisme agréé (type Bureau Veritas), condition indispensable à son retour en exploitation. Ce processus garantit que toutes les conditions de sécurité, de performance et de conformité environnementale sont réunies.